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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 18:20

Renseignements au 02 51 28 88 45

Information aimablement communiquée par Claude Gilbert de Saint Martin Lars

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 08:00

Le dernier concert de la saison :La Caillère le 15 mars à 16 heuresGuillaume Marionneau, titulaire des orgues de Luçon et deux trompettistes Pascal Gachet et Stéphane Béguier donneront un concert "Trompettes et Orgues"


Réservez dès maintenant vos places :

Entrées au concert 7 €, gratuit pour les moins de 12 ans. Réservations à l'office de tourisme du Pays de Sainte Hermine.
Tel : 02.51.27.39.32 
mèl :
officedetourisme-ste-hermine@wanadoo.fr
et au secrétariat des Veillées Musicales.
Tel : 02.51.27.66.71. 

 

 

  (Affiche Bernard Cottreau)

 
Guillaume MARIONNEAU, organiste, professeur d'orgue

   Né en 1975, il étudie d'abord le piano puis effectue des études de musique et de musicologie à l'université et au Conservatoire National de Région de Tours où il obtient entre autres un premier prix dans la classe d'orgue d'Olivier VERNET, ainsi qu'un premier prix régional de perfectionnement. Il poursuit ensuite ses études au Centre d'Etudes Supérieures de la Musique et de la Danse de Poitiers où il devient titulaire du Diplôme d'Etat de professeur d'orgue. Parallèlement à cette formation il se perfectionne avec les organistes Dominique FERRAN, Didier LEDOUX et Nigel ALCOAT.

     En 1999 il est nommé titulaire des orgues historiques de la Cathédrale de Luçon et prend la direction du chœur de la Cathédrale.

   L'enseignement occupe une grande part dans ses activités : professeur d'orgue des Ecoles Municipales de Musique de Luçon et Challans, il est également responsable de l'Académie d'Orgue de Saint Laurent sur Sèvre.

     Il est invité à donner des récitals et des concerts en soliste (à Paris - église de La Madeleine -, dans les cathédrales de Poitiers, Saintes, Agen, Nantes, Tours, Rennes, Angers, La Rochelle, Angoulême, à Guéret, Vichy, La Bernerie en Retz, Cunault, Ligugé, Lectoure, Montoire sur Loire, en Vendée, en Angleterre, en Espagne...), en petite formation (continuos, chant et orgue, duos avec notamment Bernard Soustrot, David Rouault,), ou avec orchestre symphonique dans des œuvres pour orgue et orchestre rarement jouées (Boëllmann, Guilmant, Respighi, ... ). Il accompagne depuis sa création le chœur de Vendée, dirigé par Philippe Mazé, ainsi que la maîtrise d'enfants de l'Institut Musical de Vendée.

 

   Pascal Gachet,  trompettiste

 

   


Après des études musicales à La Rochelle, Pascal Gachet poursuit sa formation en région parisienne au Conservatoire Régional d’Aubervilliers-La Courneuve dans les classes de trompette de André et Frédéric Presle. Il y obtient son 1er prix de trompette, ainsi qu’un 1er prix de musique de chambre.



Depuis 2000, il est titulaire d’un Diplôme d’Etat de professeur de trompette et enseigne cet instrument dans les écoles de musique de Luçon et de Royan.

 

 

 

Stéphane BEGUIER, trompettiste

 

   

Après avoir fait des études musicales à la Rochelle, il rentre au C.N.R de Versailles dans la classe de Roger Delmote, où il obtient un premier prix en trompette et musique de chambre. Il remporte ensuite le premier prix de la ville de Paris



Son activité musicale se partage entre des concerts de musique de chambre, notamment en quintette de cuivres et d'orchestre symphonique, dont l'orchestre de Poitou-Charentes. Professeur diplômé d'état, il enseigne la trompette dans des écoles de musique de la région.

 

 

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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 09:26
Les verreries du musée de Fontenay : un exemple de l'art gallo-romain

La mise en contact des populations avec les Romains entraîne l'adoption d'un mode de vie à la romaine, contribuant ainsi à l'éclosion d'une civilisation originale et brillante.
 
Le musée possède un ensemble remarquable de verreries gallo-romaines, datées du IIè s. de notre ère : symbole de romanisation, des rites  funéraires, des échanges commerciaux et de la maîtrise du verre.
 
Pendant les Journées de l'Antiquité, une découverte de cette collection à  partir de trois thématiques : l'alliance du savoir-faire et des coutumes  romaines chez les Pictons, le culte des Dieux et Déesses et le culte des  morts.
 
Différents RV sont donc proposés au musée pour découvrir les collections  antiques à partir des thèmes pré-cités :
 
Visite-Eclair : Jeudi 12 mars à 12h15
A partir des collections du musée, comprendre l'influence de l'art des  Romains sur les Pictons.
TP : 2,50 // TR : 1,00
 
Visite découverte : Dimanche 15 mars à 15h30
Découverte des collections suivie d'un diaporama
Le contact des populations locales avec les romains a favorisé l'adoption  d'un mode de vie à la romaine : religion, rites funéraires, les arts etc.
TP : 4,00 // TR : 2,50
 
Conférence : Jeudi 19 mars à 18h00, par Mr Christian Gendron, conservateur  du Musée Bernard d'Agesci à Niort.
Les verreries gallo-romaines du musée.
Le musée possède un ensemble remarquable de verreries gallo-romaines  découvertes dans le Sud Vendée. Ce mobilier témoigne de l'art du verre, des  échanges commerciaux et des rites funéraires.
TP : 4,00 // TR : 2,50
 
Gaëlle OLIVER
Responsable du musée de Fontenay
Place du 137è RI
85200 Fontenay le Comte
02 51 69 31 31
musee@ville-fontenaylecomte.fr

Le blog "entre plaine et bocage" se fait un plaisir de relayer cette information qui devrait intéresser tous les amateurs de notre patrimoine.
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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 16:59

Déjà les premières fleurs sortent : pensées sauvages, ficaires, jonquilles. Le printemps est presque là, c'est le moment de reprendre les randonnées.
Notre commune est dotée de nombreuses possibilités dans ce domaine : Bois, chemins creux, routes peu fréquentées par les voitures. Avec un peu de chance vous pouvez voir un écureuil sauter d'arbre en arbre ou des chevreuils détaler dans un champ en vous montrant leurs petites queues blanches.
Deux associations s'emploient activement à entretenir les sentiers de randonnées : L'association des 5 chênes et l'Amicale Hilairoise. Qu'elles en soient ici remerciées. Mais la qualité de notre environnement est, avant tout, l'affaire de tous et on trouve malheureusement trop de papiers, trop de paquets de cigarettes, de sacs ou de bouteilles en plastique. C'est pourtant si agréable de se promener dans un environnement propre. Mais, c'est vrai, il faut aussi être tolérant !

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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 14:53

                                                                                                                                                                                                     Déjà en 1781, Dangirard (ouvrage cité dans un article précédent) s'étonnait de l'usage que l'on faisait, dans le Bas Poitou, des mots "village" et "bourg".
Selon lui, il ne correspondait pas au sens "consigné dans les dictionnaires". Il avait raison.
En effet, dans le langage poitevin en général et donc vendéen, "le bourg" est constitué des maisons regroupées autour de l'église, qu'il y ait eu un mur d'enceinte ou pas.
Le "village" est un regroupement de maisons à l'écart du "bourg". Ce que les "dictionnaires" identifient comme un hameau.
Ce village peut être presque aussi peuplé que le bourg ou ne comporter qu'une ou deux maisons. Il n'a souvent d'existence que dans le langage parlé. Les cartes et les administrations l'ignorent le plus souvent .


Ainsi, à Saint Martin Lars, au centre du bourg, il y a un panneau qui indique la direction "les villages".

Si vous empruntez cette route,vous ne trouverez à aucun moment, un panneau vous affirmant que vous êtes arrivés à destination, encore moins des villages au sens courant du terme. Au mieux, vous aurez vu des plaques récentes sur lesquelles est inscrit "rue des villages" ou "impasse des villages" (il faut bien distribuer le courrier).

Pourtant, quand vous êtes dans cette "rue", avec ses quelques maisons, vous êtes dans "les villages"! Ce n'est  pas difficile...

Y a-t-il meilleure illustration de ce qu'est un "village" en Vendée et en Poitou?

la carte postale  a été envoyée en 1908.



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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 08:00

Concert des Veillées Musicales le dimanche premier mars à 16 heures  en l’église de Thiré.






Photos Bernard Cottreau


Une église de Thiré pleine pour écouter l'Orchestre de Chambre de la Philarmonie de Luçon. Cet ensemble a été créé à l'initiative de Fabrice Auger, professeur de clarinette, qui le dirige et assure la transcription des oeuvres. Ils ont interprété des oeuvres de Haydn, Carl Stamitz, Anton Dvorak et Carl Orff. Les applausissements nourris à la fin du concert témoignaient de l'entousiasme du public.

 

 

 

 

Rappel : Entrées à ces différents concerts 7 €, gratuit pour les moins de 12 ans. Abonnement pour les 4 concerts : 25 €
Réservations à l'office de tourisme du Pays de Sainte Hermine. Tel : 02.51.27.39.32  mèl :
officedetourisme-ste-hermine@wanadoo.fr
et au secrétariat des Veillées Musicales. Tel : 02.51.27.66.71. 


Le dernier concert de la saison : La Caillère le 15 mars à 16 heures Guillaume Marionneau, titulaire des orgues de Luçon et deux trompettistes Pascal Gachet et Stéphane Béguier donneront un concert "Trompettes et Orgues"

Les Harpes "Vivace" de Saint Herblain étaient le 18 janvier  à 16 heures dans l'église de La Réorthe. Cet ensemble d'une trentaine de harpes et de flûtes est placé sous la direction d'Armelle Gourlaouën.


Les Choeurs du Conservatoire de La Roche sur Yon est un ensemble de  choristes dirigés par Loïc Chevalier, chef de coeur. Ils ont chanté le 8 février à 16 heures à l'église de Saint Jean de Beugné.

 

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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 14:30

Certains lecteurs ont regretté que cet article soit uniquement en anglais. Malheureusement je n'ai pas eu d'autres information sur ce spectacle et sur les acteurs. Je sais simplement que c'est le premier spectacle "tout-en-français" de Prudence. Pour moi la référence est suffisante car la qualité de ce qu'elle organise n'est plus à démontrer. Pour le reste c'est facile : spectacle de cabaret avec des chansons et des sketches le 28 mars à 17 heures à La Chataigneraie dans la salle Belle Epine. Contact 02.51.51.35.20 ou prudencebury@wanadoo.fr

March 28th an evening of entertainment, presented for you by « Sortie Cote Jardin. Exit Stage Left » The evening starts at 8pm with cocktails and snacks, followed at 9pm by our French cabaret of songs and sketches. Invitations can be bought by contacting Prudence on 02 51 51 34 20 or prudencebury@wanadoo.frSo put on your glad rags and come to the Salle Belle Epine in La Chataingneraie. Entrance 20 euro per person. Invitation only.

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24 février 2009 2 24 /02 /février /2009 16:14
L'histoire du train a de nombreux passionnés. Dans notre région passe la ligne Vouvant-Cezais à Chantonnay. Nous en avons parlé à plusieurs reprises à propos de déraillement de 1944 à Frogère. Il reste encore beaucoup de vestiges de cette voie désafectée en 1953 : Portion de voie, maisons de garde barrière, Gares.
François Baubineau de La Jaudonnière nous raconte aujourd'hui l'histoire de la construction de cette voie.

 

Histoire de la Mise en service de la ligne de chemin de fer
Vouvant-Cezais à Chantonnay
passant par la gare de la Jaudonnière-Pareds


Le 14 Décembre 2008, le TGV arrive en Vendée, il ne faut pas oublier que le train était présent à La Jaudonnière pendant un peu plus de 50 ans alors ci-dessous l’histoire de l’ouverture de ligne Vouvant-Cezais à Chantonnay.

- Le 17 Juillet 1879, l’adoption définitive du plan Freycinet classa la ligne de Fontenay-le-Comte à Breuil- Barret dans le réseau d’intérêt général.



Hotel de la gare de La Jaudonnière - Pareds. Il était tenu par les grands parents de l'auteur de cet article : François Baubineau.
 

- Le 25 juin 1881, La compagnie de l’Etat présente un avant-projet pour l’établissement d’une ligne de Fontenay-le-Comte à Cholet avec embranchement de Vouvant-Cezais à Breuil Baret.

La construction de la ligne fut divisé en trois sections :

- la section de Fontenay-le-Comte à Breuil Baret   
- la section de Vouvant-Cezais à Chantonnay                    
- la section de Chantonnay à Cholet

 

- La ligne de Fontenay-le-Comte à Breuil-Baret fut ouverte le 18 mai 1890 à l’exploitation et s’établissait sur une longueur de 29,110 kms, répartis de la manière suivante :

- 13,860 kms de Fontenay-le-Comte à Vouvant-Cezais        
- 15,250 kms de Vouvant-Cezais à Breuil Baret.

 

 















La ligne de Vouvant-Cezais à Chantonnay :

 

a)      Origines et études

 

- Le 27 août 1882 la ligne de Vouvant-Cezais à Chantonnay fut déclarée d’utilité publique.

Cette section consistait à relier la ligne provenant de Fontenay-le-Comte à la ligne de la Roche-sur-Yon à Bressuire, permettant ainsi à la ville de Chantonnay de devenir une nouvelle « plaque tournante » du réseau ferroviaire vendéen.

 

- Le 11 novembre 1882, un premier avant-projet reliant Vouvant-Cezais à Chantonnay fut proposé, d’une longueur de 25,125 kms.

 

- Le 25 juin 1883, les études à mener sur la ligne furent attribuées à l’ingénieur Chaumlelin, également responsable de la section de Fontenay-le-Comte à Vouvant-Cezais.

 

- Le 10 février 1886, la compagnie de l’Etat décida de suspendre les études menées sur la ligne de chemin de fer de Vouvant-Cezais à Chantonnay.

 

- Le 12 juillet 1887, le service des études du chemin de fer de Vouvant-Cezais à Chantonnay fut tout simplement supprimé.

 

- La situation resta ainsi gelée pendant plus d’un an, mais le 26 décembre 1888, un nouveau projet d’exécution du tracé et des terrassements fut présenté par la Compagnie de l’Etat.

Les études reprirent donc leur rythme normal. La confirmation n’intervint que trois jours plus tard, le 29 décembre 1888, lorsqu’un autre projet fut proposé, concernant cette fois-ci l’exécution des travaux de ballastage et de pose de voie.

 

- Le 6 février 1889, l’enquête sur le nombre et l’emplacement des stations à établir était ouverte par l’ingénieur Chaumelin.

 

- Le 12 mai 1890, marqua un tournant important dans les études de la ligne Vouvant-Cezais à Chantonnay. En effet, conformément au plan général approuvé par le ministre des Travaux Publics, le Préfet de la Vendée désigna les territoires sur lesquels devaient être exécutés les travaux. Les neuf communes traversées par la nouvelle ligne de chemin de fer étaient les suivantes :

- Cezais,  St Sulpice en Pareds,  Thouarsais-Bouildroux,  La Caillière,  Saint-Hilaire-du-Bois,           La Jaudonnière,  Saint-Philbert-du-Pont-Charrault,  Saint- Mars-des-Prés,  Chantonnay.

            La gare de La Jaudonnière - Pareds

b)     
Construction

 

- Le 9 février 1891, la direction de la Compagnie des chemins de fer de l’Etat adressa au Ministre des Travaux Publics les dossiers d’enquête à laquelle il avait été précédé au sujet du nombre et de l’emplacement des stations à établir sur la ligne de Vouvant-Cezais à Chantonnay. Les stations de ces deux communes étant déjà construites, il n’en restait que deux à bâtir, sur les communes de la Caillière et de la Jaudonnière.

 

- Le 11 novembre 1892, les travaux de construction prirent une tournure décisive lorsque le préfet de la Vendée détermina les propriétés qui devaient être cédées pour l’établissement de la ligne, et prescrivit les ouvrages à exécuter pour assurer le maintien des communications et l’écoulement des eaux.

 

- Le 11 janvier 1898, les plans parcellaires des terrains dont l’occupation était nécessaire pour l’établissement de la ligne de Vouvant-Cezais à Chantonnay furent déposés dans les mairies concernées.

 

 


- Le 28 mai 1900, intervint l’ouverture de la ligne à l’exploitation soit plus de dix ans après la ligne de Fontenay-Comte à Breuil-Barret.

Les deux nouvelles stations construites sur la ligne portaient désormais les dénominations suivantes :             - Thouarsais-La Caillière et  – La Jaudonnière-Pareds.







Journal des Sables et courrier de la Vendée réunis, édition du dimanche 27 mai 1900.
















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24 février 2009 2 24 /02 /février /2009 15:24

L'association Culture et Loisirs du Sud Bocage est très active dans la commune... C'est elle qui organise les Chrismas Carols et qui initie de nombreux concerts à La Caillère. Elle tenait son assemblée générale hier soir. Le bilan 2008 et le programme 2009 ont été évoqués. Le bureau a été réélu à l'unanimité. Pour soutenir les actions de cette association, prenez contact avec elle et demandez votre carte d'adhérant !

CULTURE ET LOISIRS DU SUD BOCAGE

1 Place de la Mairie, 85410 La Caillère-Saint Hilaire.

Email : clsb@orange.fr

 

L'association "Culture et Loisirs du Sud Bocage", créée fin 2006, a pour objet la promotion et le développement des activités culturelles et de loisirs dans le sud bocage vendéen autour de La Caillère-Saint Hilaire.

Ses membres, déjà organisateurs de manifestations locales, se sont regroupés au sein d'une structure afin de proposer des concerts, théâtres, conférences, expositions et spectacles culturels… L'association souhaite travailler en étroite collaboration avec les autres associations afin d'établir un calendrier harmonieux et assurer ainsi une animation variée répondant à l'attente de tous.

En 2008, ont eu lieu :

Le 3 février, église de Saint Hilaire du Bois, "Veillées Musicales" avec l'ensemble baroque Artemisia

Le 8 août, église de La Caillère, musique classique : Orgue, trompette, basson, flûte et voix

Le 13 décembre à 19 h, église de La Caillère: Christmas Carols.

Programmation 2009 :

Le 15 mars à 16 h, église de La Caillère, dans le cadre des "Veillées Musicales" : Concert "Trompettes et Orgue" avec Guillaume Marionneau, Pascal Gachet et Stéphane Béguier.

Le 7 août à 20h30, église de La Caillère, Concert de musique classique : L'Ensemble de La Chapelleet Frédéric Lardy à la trompette.

Le dimanche 13 décembre, église de La Caillère: Christmas Carols (heure à préciser).

D'autres manifestations de qualité sont envisagées.

Venez nous rejoindre avec vos idées et … votre bonne volonté.

Bureau 2008

Présidente : Danièle Cottreau (02 51 51 54 97)

Vice présidente : Vinciane Egonneau

Trésorier : Philippe de Beausse

Secrétaire : Bernard Cottreau

Conseillers culturels : Maggie Round et Patrick Lepeltier

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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 23:54

Grâce à Bernard Cottreau de La Caillère et son immense documentation sept nouvelles photos sont ressorties des placards. Je le remercie chaleureusement. Voir les précédents articles du 25 janvier et du 6 février.

















La première photo a déjà été publiée dans l'article précédent. La seconde est exactement la même mais le photographe à effacé le sujet féminin au premier plan. On peut voir les obus par terre au pied de la loco.



































Sur cette photographie le rail de droite est complètement déformé et tordu.



































































J'espère que d'autres photographies vont être retrouvées !!!

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